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    En jargon judiciaire et en néerlandais, cela s’appelle l‘ »AIBV », à savoir la « section de mesures de sécurité individuelles particulières ». En français, cela pourrait s’appeler un QHS, quartier de haute sécurité. Pour les prisonniers qui y séjournent en Belgique, l’endroit porte un nom plus simple :« Guantanamo ».

    Le témoignage d’un jeune prisonnier de Bruges, en Flandre, sur sa vie dans ce type de quartiers souterrains illustre, en tout cas, de manière brutale une pratique que peu de Belges connaissaient et dont la conformité aux droits de l’homme est, au moins, douteuse. Ashraf Sekkaki, 25 ans, est ce qu’on peut appeler une forte tête. Décrit comme très brutal, il a à son actif une dizaine d’attaques de banques et plusieurs actes de violence. Il avait 16 ans quand un juge de la jeunesse s’est dessaisi de son dossier. Depuis, il n’a quitté qu’une fois la prison lors d’une cavale qui a duré cinq mois, en 2003.

    Dans des lettres au quotidien De Morgen – qu’il a fait sortir en violation des règlements -, le jeune homme se défend d’avoir jamais utilisé une arme. Mais son comportement, ses menaces et son obstination ont justifié son inscription sur la liste des détenus les plus dangereux du royaume. Il est, depuis juin 2008, l’un des pensionnaires de l’AIBV de Bruges. Cette section que l’on atteint, selon des avocats, après avoir déambulé dans des couloirs longs d’un kilomètre et entrecoupés de points de contrôle, a été créée il y a près d’un an. Ce projet du ministre de la justice, Jo Vandeurzen, chrétien démocrate flamand, se voulait une réponse à l’évasion d’un autre truand célèbre. Et s’ajoutait au« régime extra » déjà en vigueur et réservé aux auteurs de faits graves. L’AIBV compte 10 cellules – dont 6 sont actuellement occupées – et 31 gardiens. Elle aurait un équivalent à la prison wallonne de Lantin, près de Liège.

    Dans ses lettres, Ashraf Sekkaki énumère les conditions de sa détention : pas de contact avec l’extérieur, pas de courrier – pas même pour les cours qu’il suit -, pas de visites sauf celle, strictement réglementée et surveillée, de son avocat. Il dit devoir subir deux fouilles corporelles approfondies chaque jour, ainsi qu’une fouille de la cellule, un isolement complet de 23 heures sur 24 avec une « promenade » autorisée dans une sorte de cage grillagée, menottes aux poignets et aux chevilles. Le chauffage n’est pas allumé avant la fin du mois d’octobre. « Je me sens comme dans un laboratoire où l’on voudrait tester jusqu’où l’on peut aller », a expliqué le jeune truand.

    Exagération ? « Non, il dit la vérité », affirme Me Nathalie Buisseret, avocate de Farid Bamouhammad, un autre locataire de la prison de Bruges, voisin d’Ashraf Sekkaki. Un autre avocat,Sven Mary, décrit une situation « pire que l’enfer, hallucinante » où l’on refuserait jusqu’à une brosse à dents ou des médicaments aux détenus. Me Mary entend lancer prochainement une citation contre l’Etat belge. De son côté, le ministre de la justice s’est dit « abasourdi » non pas par le contenu des informations diffusées mais par la « mauvaise foi » et « l’éloignement par rapport à la réalité » du témoignage. Pour M. Vandeurzen, l’expérience de l’AIBV est concluante et l’attitude des détenus à l’égard du personnel s’est améliorée.

    L’instauration de tels quartiers n’est pas formellement interdite par la loi belge, d’ailleurs assez floue et appliquée par une administration qui jouit d’une grande marge de manoeuvre. La section belge de l’Observatoire international des prisons dénonce, elle, le fait qu’à la privation de liberté s’ajoute une « deuxième peine », assortie de mesures de contrainte particulières. Et cela alors que la Belgique enfreindrait déjà la Convention internationale des droits de l’homme et les recommandations du Conseil de l’Europe, notamment par la surpopulation carcérale. Le royaume compte quelque 10 000 détenus pour 8 300 places disponibles dans ses 33 prisons.

    En ce qui concerne la prison de turnhout et la détention abusive de notre ami et collaborateur Monsieur Marcel VERVLOESEM , nous devons préciser également que l’inapplication de l’article 72 de la loi d’application des peines est l’expression d’une volonté politique de nuire aux droits élémentaires de ce prisonnier politique particulièrement dangereux non pas pour la société mais pour les réseaux pédophiles qu’il dénonce par le biais d’un laxisme probant et volontaire du PSD.

     

     

     

     

     

     


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    J’amène mon fils au CHR de Bordeaux, l’œil abîmé, une bosse sur le front. Son père me dit qu’il est tombé du toboggan au parc bordelais. Son demi-frère, Pierre-Alexandre, était avec eux, pendant que je travaillais. Les médecins n’ont rien dit. J’ai cru à cette version sur le moment, mais je pense que mon fils a été battu et à partir de ce jour, je ne l’ai plus laissé seul avec son Père. De plus sur la table de salon, un drôle de yoyo est posé. Dés années plus tard, je saurais ce que sais.

    Nous prennons nos vacances à Pezenas au mois d’août. La maman de Pierre-Alexandre, qui était venue à Bordeaux voir un industriel, passe à Pezenas, mais je ne la vois pas. Ma soeur me dit au téléphonne de faire attention à mes verres.

    Tout va comme ça peut aller, jusqu’à ce que mon fils découvre une petite pipe avec de la poudre blanche. Résultat de la découverte: mon mari infidèle revient avec de ses amis que je ne connais pas, qui me tabassent en présence de notre fils. Il léve son majeur et me dit:- Je t’ai détesté, méprisé, je te haïs. J’ai l’oreille interne détruite, des hématomes sur tout le corps. Je suis en incapacité de travail durant un mois. Je demande le divorce avant la fin du mois d’août.

    A la rentrée des classe de la petite maternelle de Bordeaux, je consulte les dessins de mon fils avec la directrice. Ce ne sont que des hommes, dont il dessine le sexe d’un trait. Une semaine aprés, l’école sera cambriolée… et les dessins de mon fils ont disparu. La semaine suivante, Alain viendra consulter le dossier… vide !

    Je ne dois rien posséder et me détacher de tout. Je dois être pauvre. Je n’existe pas, plus. Alain fait croire que je le bat, qu’il a peur de moi, il me vouvoie et arrive devant des magistrats l’air trés humble.La plainte à l’encontre des agresseurs sera classée… sans suites. Les magistrats écriront :- « Qui prouve que Madame Poupard ne se serait pas agressé elle même ? »

    NO COMMENT.


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    A l’attention de Monsieur Marcel VERVLOESEM

     

    Cher ami,

     

    Je vous écris de CANNES, cette belle ville de France où les criminels semblent être sédimentés au pouvoir politique local dans l’indifférence ou la peur des concitoyens.

     

    Je vous écris de France, ce beau pays, où JAURES, SARTRE, CAMUS n’auraient jamais imaginé malgré le communisme, une dictature d’Etat aussi bien établie dans le confort d’une démagogie qui supprime toutes formes d’opposition sociale par des moyens policiers, judiciaires ou économiques probants.

     

    Je vous écris tout simplement mon ami afin de vous avertir que nous sommes devenus des frères dans la dénonciation des crimes et délits d’ETATS qui tentent de nous faire taire par des moyens directs ou détournés.

     

    Je vous écris car j’ai le sentiment que mes lettres ne vous parviennent plus car je divulgue au Monde médusé les conditions scandaleuses d’une détention, la vôtre, mais aussi un système de pensées et d’actions qui permet à des pédophiles d’accéder à des fonctions sociales élevées alors que les résistants que nous sommes, sont pourchassés, harcelés et menacés de toutes les manières possibles et imaginables par des esprits pervers.

     

    Je vous écris car ma foi en l’homme n’admet pas la peur de tous ces criminels et n’admettra jamais la dictature qui nous est imposée quotidiennement.

     

    Je vous écris encore et toujours afin de vous assurer de mon soutien inconditionnel et que le vouvoiement que j’use dans cette lettre ouverte démontre uniquement tout le respect et l’amour que je vous porte.

     

    En Mai 1993, j’entrais en fonction au service de la Nation, je me sentais souvent étranger au Monde mais pas à la souffrance des hommes, je parlais à tous les gens, j’essayais d’aider les plus pauvres, je ne travaillais donc pas comme un Policier mais comme un citoyen au milieu d’autres citoyens, égaux en tous points à ma fonction.

     

    Depuis 2001, j’ai connu l’humiliation, la prison, le harcèlement financier, moral, judiciaire, politique et brusquement le regard des gens s’est transformé, j’étais devenu le corrompu, le voyou, le délinquant, toute cette bonne société me tournait le dos car elle savait que la pédophilie existe mais refusait d’y croire, le peuple avait scellé presque définitivement sa destinée, il préférerait désormais me considérer comme un traître, il ignorait certainement qu’à travers mes condamnations, c’était la population que l’on visait et tous les fonctionnaires de Police ou de Justice que l’on prévenait du sort qui pouvait leur être réservé.

     

    Nous sommes le sept octobre 2009, la dictature s’est imposée de facto, personne n’a protesté ni les journalistes, ni les intellectuels, ni les ecclésiastes , tout le monde semble se complaire dans une France qui se débarrasse de ses chômeurs , de ses malades, de ses hommes ou femmes qui n’aspirent qu’à la liberté fondamentale de pensée et d’agir dans l’intérêt de tous et non pas dans leur propre intérêt.

     

    La peur est palpable, les gens se taisent ou se suicident car ils ne souhaitent pas combattre un système aussi pervers et corrompu.

     

    Pourtant, vous, Monsieur Marcel VERVLOESEM, vous le faîtes depuis plus de dix ans, vous avez sacrifié votre santé pour cette noble cause qui nous est et sera toujours commune quelle que soit notre destinée.

     

    Par ce combat symbolique, nous serons reconnus dans l’avenir avec les membres honorables de nos associations comme les rares personnes qui n’ont jamais eu peur du système et ont combattu le despotisme institutionnel.

     

    J’espère que vous serez libéré prochainement car si l’écrivain russe Alexandre SOLJENITSYNE a vaincu le GOULAG et donc le KGB, c’est avec de simples mots que l’histoire a changé.

     

    Je vous embrasse comme le ferait un compagnon d’arme, un frère de sang.

     

    Patrice VERDI

     

    Bon anniversaire Marcel, toute ma famille et mes amis se joignent à moi pour vous embrasser chaleureusement !

     

    A bientôt….

     


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    Il existe des épreuves qui vous grandissent ou vous détruisent définitivement, notre ami Marcel VERVLOESEM fait preuve quotidiennement d’un courage et d’une volonté exacerbée par l’injustice d’une détention politique arbitraire.

    Les Hommes libres savent qu’ils font face à une armée de pervers cachés derrière des fonctions politiques nationales ou internationales qui tendent à effacer sociologiquement toute trace du génocide engendré par ces réseaux de pédocriminalité.

    Ces Monstres forment un hybride entre le vautour et la hyène et ne servent en aucun cas les démocraties ou la liberté.

    Citoyens, réveillez vous et imaginez précisément les faits si vous pouvez le supporter encore, des enfants assassinés froidement par une armée de lâches cooptés par des réseaux de criminels qui se terrent dans l’anonymat afin de pouvoir assouvir leur besoin de sang.

    Ce sont des nihilistes confirmés, des anticonformistes conforment à une tradition d’omerta publique qui préfère protéger ses pervers plutôt que d’annoncer au Peuple que le pouvoir politique permet de façon égale la protection ou la destruction des personnes les plus faibles.

    Il n’appartient à aucun individu de décider de la vie ou de la mort d’un homme ou d’un enfant mais ces personnes existent, elles ont un nom, un visage, une fonction mais pas d’âme.

    Précisons encore les faits, la fonction n’accepte pas la perversion car elle remet en cause l’intégrité des institutions et le respect social que nous leur devons.

    Mais que devons nous aux pervers ?

    Rien car les institutions nous démontrent qu’elles ne respectent pas les principes de droit et d’égalité.

    Pourquoi dénoncer les problèmes en tchétchénie, la mort de ces milliers d’enfants puisque nous les assassinons quotidiennement en Europe.

    La Bombe Atomique est une solution radicale utilisée stratégiquement par les occidentaux, le traité de non prolifération n’a jamais été appliqué, alors pourquoi faisons nous de l’ingérence dans des dictatures du Moyen-Orient alors que nous n’avons pas plus de morale qu’eux en ce qui concerne la protection des droits des citoyens et des enfants en particulier.

    Je n’ai de respect que pour le peuple, l’armée des ombres, ces pervers, sont nos ennemis à tous et sont Juge et Partie dans ce problème politique contemporain qui ne grandit pas l’EUROPE.

    J’attends la libération de Monsieur Marcel VERVLOESEM afin de retrouver la foi perdue envers la légitimité de nos institutions.

     

    VERDI Patrice

     

     

     

     

     


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    IRRADIE MAIS PAS ENCORE GRILLE...

     

    ECOLE ELEMENTAIRE

     

     

    MARIE CURIE

     

    06210 MANDELIEU LA NAPOULE

     

     

     

     

     


    DIRECTRICE : MADAME PIERRE 

     

     

     

     Monsieur VERDI  Patrice          

     

    Mandelieu  le<span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space> 18/09/09

     

    à

     

    Monsieur le Procureur du TGI de Grasse <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>  

    37 av Pierre Sémard 06130 GRASSE 

    Tel : 0492 60 72 00    

    Fax : 04 92 60 72 35

     

    Monsieur le Procureur,

     

    J’ail’honneur de vous écrire afin de vous signaler par le présent courrier que certaines personnes mal intentionnées ont empêché volontairement la libre circulation des véhicules stationnés le 15/09/09 à 16h30 sur la parking OUESTde l’école Marie Curie de Mandelieu La Napoule alors que mon épouse venait récupérer notre fille Victoria.

    Je tiens à déposer plainte car les menaces qui ont suivi et qui ont été réitérées le 18/09/09 sont conséquentes à la mauvaise foi évidente de plusieurs personnes y compris la Directrice de cette école, Madame PIERRE,  qui est d’une partialité flagrante dans cette affaire minable en précisant qu’elle connaissait les faits du 15/09/09 alors qu’elle affirmait paradoxalement ne pas en être témoin ; la causalité de ces attitudes inadmissibles résultent en réalité d’une volonté incontestable et non dissimulée d’obtenir une situation conflictuelle permanente auprès de ma personne avec l’appui des autorités scolaires auxquelles elles sesont empressées de se plaindre afin de nous discréditer socialement, ce qui fera plaisir à notre excellent Député Maire de CANNES, l’intouchable, Monsieur Bernard BROCHAND.

    Dans la certitude d’une appréciation partiale de ce manque d’incivisme évident qui vous sera certainement rapporté d’une façon bien spécifique étant donné le lien de subordination qui existe entre toutes les administrations par le biais de certains réseaux qui permettent à des élus locaux de commettre des délits flagrants sans aucune suite judiciaire ; je pense que l’expertise des faits qui se sont effectivement déroulés servira certainement la cause de l’Etat qui tend à nous exclure de toute vie sociale avec l’aide de la CPAM, du Ministère de la JUSTICE et maintenant de l’Education Nationale.

    Vous n’avez donné aucune suite à l’ensemble de mes plaintes depuis 2001, nous verrons donc ce que vous déciderez en la matière ; toute interpellation ou convocation sera considérée et dénoncée publiquement comme une agression personnelle contre ma personne ou ma famille et décidée par le Gouvernement Français qui refuse d’enquêter sur certains réseaux de pédocriminalité que je combats avec certaines Personnalités Internationales courageuses qui remettent en cause les plus hautes autorités Administratives de l’Etat.

    Je vous prie d’agréer Monsieur le Procureur en l’expression de mes salutations les plus distinguées.

    PS : Je me réserve le droit de faire diffuser cet article sur le net maisaussi de déposer plainte pour Coalition de Fonctionnaires contre la CPAM des AM qui a émis de faux documents afin de tenter de me placer arbitrairement en ALD civile comme le fait professionnellement la Ville de CANNES pour ma fonction sociale de Policier en toute Impunité !

     

    NB :Copie Adressée pour Information à Monsieur Henri LEROY, Maire de Mandelieu La Napoule.


    NB : Copie Adressée pour Information à Monsieur le Préfet des AlpesMaritimes.

     

    NB : Copie Adressée pour Information à Monsieur le Recteur D’académie de NICE. 

     

    NB :Copie Adressée pour Information à Monsieur le Procureur Général d’AIX en Provence.       

     

    VERDI Patrice

     

    http ://droitfondamental.eu

    ou

    http://reseaux-francais.droitfondamental.eu/wordpress/

    ou

    « PEDOPHILIE A CANNES » SUR GOOGLE ou Tout autre moteur de recherche sur le NET.

     


     

     

     18/09/09

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